jeudi 21 juillet 2005

Hé là, ce fut le drame...


" La riposte ne se fit pas attendre..."
Nous déclara un passant témoin des faits.

« C’est ainsi que les faits se sont produit... », commença le brigadier Beerquejeprefere Michel.
Dans le voisinage il était courant de voir passer cet étrange animal bleu pourvu de deux immenses oreilles et de deux proéminentes dents de devant. Mais que ne fut pas la surprise du bourgmestre quand il vit un soir ce présenter à la brasserie "au père tranquille" ce curieux personnage affublé d'une étrange coiffe en forme de citrouille. Il demanda à ce qu'on lui prépare l'étrange animal cité ci dessus, capturé dans d'étrange circonstance. Le brave aubergiste s'y refusant prétextant d'ancienne croyance, l'individu se dirigea vers la cuisine et commença à dévorer telle quelle sa victime, sans même prendre le temps de retirer les basket de sa proie, ni même le mégot fumant qui était encore dans la gueule de la créature.
Mais après une première bouché, le personnage fut prit de démence et c'est dans un fracas de flatulence qu'il s'en fut dans la forêt en criant « coin coin ! »
Les villageois présent déclarèrent que c'était une malédiction et que la riposte ne s'était pas fait attendre.

Propos receuillis par H. TARTELPIQUE

2 commentaires :

schmollnounou a dit…

C’est dingue ce que les journaux de la capitale peuvent raconter comme bobar, heureusement les petites gazette indépendante de province sont là pour restaurer la vérité...

HEUGHE Christophe a dit…

Non, moi je pense que l'on peut faire confiance dans notre presse nationale au vue de cette article sur lequel je suis tombé dans le "Libération" et qui est un exemple du sérieux et la grande force d'investigation de nos grands journalistes français.

L'article titré : "L'HOMME À LA QUEUE DE CHEVAL"
Il aimait un peu trop son étalon. Qui le lui a bien mal rendu: un habitant de Seattle est mort après un rodéo qui a mal tourné.

Il ne s'agit ni d'extra-terrestres ni d'une nouvelle drogue de synthèse. Et pourtant, le chef de la police de la localité d'Enumclaw, à 60 kilomètres au sud-est de Seattle (Etat de Washington, nord-ouest), n'hallucine pas quand il affirme: «Que ce soit le médecin légiste, le shérif ou les enquêteurs, nous n'avons jamais rien vu qui se rapproche, même de loin, de ce sur quoi nous travaillons depuis deux semaines». Le sujet qui occupe son emploi du temps ? Un côlon ainsi que d'autres organes éclatés qui ont causé une hémorragie à l'origine de la mort d'un homme d'une quarantaine d'années.

Selon les premiers éléments de l'enquête, les policiers se sont rendus compte que le corps de cet homme avait été transpercé par... un étalon qui l'a sodomisé. Et pas n'importe où, dans une ferme de l'Etat spécialisée dans la zoophilie. L'enquête a établi que la ferme dans laquelle cet homme résidant à Seattle est décédé s'était spécialisée dans cette pratique et proposait à ses «clients», outre des chevaux, des poneys, des chèvres, des moutons et des chiens. L'adresse circulait sur des sites Internet spécialisés. La police a dit avoir saisi sur place des cassettes vidéo montrant des actes sexuels entre hommes et animaux, représentant plusieurs centaines d'heures d'enregistrement. Le code pénal de l'Etat de Washington n'interdisant pas la zoophilie, aucune arrestation n'a eu lieu jusqu'à présent. L'étalon court donc toujours.

Par LB, d'après AFP
mardi 19 juillet 2005 (Liberation.fr - 14:29)